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lundi 17 octobre 2011

Playlist



mardi 16 août 2011

Life is Good...







Sometimes I wonder: what am I?
I look at the stars and feel very small;
just a tiny consciousness.
But if I were as tall as a planet,
I would still be short in comparison to the universe.

I see a person twice my size
and I feel weak and fragile.
But if I were strong and powerful,
I would still not be invincible.

I see a painting by the hand of a genius,
and I feel inexperienced and ignorant.
But if I were the greatest artist alive,
it would not make me love what I do any more or less.

I see blood, running from the wound of another,
and I feel a chilling fear from deep within.
But if I walked this earth with bravery,
it would not make things less dangerous.

I see a baby, innocent and naive,
and I feel cynical and jaded.
But if I saw through untainted eyes all my life,
it would not make the world a better place.

I see a raindrop, tear of the sky,
and I feel ugly and unsightly.
But if I were as beautiful as rain,
it would not make me crystal clear inside.

There are children with cancer,
mothers who lose their babies,
people who are worse off than dead.

I wonder if I am just lucky or if the world was cruel.
But even if the world was kind or if I were dying, too,
there would still be suffering.

I weep all night, I get nightmares,
I lose myself thinking of such things.
But even if I could right every wrong,
if I could run faster
or jump higher
or be stronger,
it would not make me better or happier.

With what I have, I'll do what I like
and like what I do.
Life is good.




Not Breaking...




The world is thirsty,
It's out for my blood
But if it wants it,
It will have to take it,
Because I'm not going to give it up

Life acts!
Like it can just push me around
Well I've had my fill,
Of all this misery,
And now I'm going to stand my ground!

I admit that there are times...
When I...feel so weak!
I admit that there are times...
When life...forces me to my knees!

I've had enough of life,
It's always taking!
This time I might be bending,
But I'm not breaking!

The world keeps on throwing punches,
That I can feel in my soul
But somewhere inside me,
The flame refuses to die,
And I can feel that spark grow.

Life acts!
Like it is the one in control
But I have learned,
And with the punches I roll,
I'm not taking this anymore!

I admit that there are times...
When I...feel so weak!
I admit that there are times...
When life...forces me to my knees!

I've had enough of life,
It's always taking!
This time I might be bending,
But I'm not breaking!

Throw it all at me,
Whatever you want!
I'm not breaking,
Because I just won't!

I will give and give and give,
And life just takes, and takes, and takes...
It can do whatever it wants to me,
But I refuse to break!

And even though I admit,
That there are times...
When I feel weak...
And even though I admit,
That there are times...
I'm on my knees...

I've had enough of life!
Always taking!
This time I might be bending,
But I'm not breaking!



mardi 9 août 2011

La Promesse...








Elle t'a promis.
Ella a souris quand tu a pleuré.
Ella s'est battu et tu es tombé.


Elle t'a promis,
"Je vais être ton amour,"
et avec l'amour dans ses yeux,
elle s'est exhalé des fammes
quand tu es parti en fumée.


Puis, elle s'est assise à côté de toi
et elle t'a embrassé
et elle t'a chuchoté à l'oreille,
"Je vais être ton amour."






Page Blanche...





Sur une page blanche
Je reste en transe
De longues heures d'errances
Tendant unir mots et délivrance.


Le temps est de passage
Pleure pour souiller la page
Fuir mon encrier
Des maux à vouloir crier.


Je reste là béat
La tête appuyée sur cette feuille
Mon cœur s'effeuille
Ma main contre aléa.


Je n'ai plus rien à dire
Précisément rien à redire
Mes pensées s'envolent
Mes douleurs survolent.


Maudire pour mieux écrire
Est-ce la force de la page
Ne dois-je pas décrire
Mes mots suspendus aux nuages !

Abécédaire amoureux




Attirance vers toi dont je ne me lasse malgré sa dangerosité.


Bercée par ta présence, j'en oublie tes défauts.


Cernée par les preuves, je ne peux nier tes mensonges.


Dessiner sur ta peau les nuages de mon reproche, oh mon délicat amour.


Étreindre ton corps rendu malingre par la maladie.


Futile, tout me parait loin de toi.


Guerre, toi contre ton corps, et moi contre tes pulsions.


Histoire, la notre nous l'écrivons de sang et de larmes.


Il constitue toute ma vie et m'entraîne vers ma fin.


Je ne peux que subir et te faire souffrir.


Kaléidoscope, image fragmentée de toi, impossible de faire le point.


Lutter pour se déchirer puis pour se raccommoder.


Mort, vers laquelle je te pousse et de laquelle je veux t'éloigner.


Nous ne faisons qu'un dans la joie et la peine.


Occulter le désespoir par l'amour et la haine.


Périr à petit feu, embrasés par la passion.


Quérir ta tendresse en te griffant.


Redonne-moi la force, que je puisse t'aider ou t'assassiner.


Sombres dans les ténèbres et entraînes-moi avec toi.


Toi qui, tel le soleil, m'ensorcèle pour me brûler.


Unique sentiment qui m'étouffe par son intensité.


Vous, les autres, ne pouvez concevoir notre réalité.


Week-end où nous nous unirons pour mieux nous séparer.


Xérès, liqueur où nous nous noyons, une dernière fois ensemble.


Yeux plongés dans les yeux, sans plus se voir.


Zéro, il n'y a plus rien.



L'envol de l'espoir



Quand en moi s'envole l'espoir,
Il m'arrive de pleurer le soir;
Car quand seul régne le désespoir,
Tout devient un cauchemar.

Et la vie s'efface dans le noir;
Car tous les reflets du miroir
Ne sont que promesses illusoires,
Quand en moi s'envole l'espoir...

You Never Gave It Back...


I hate you, but I miss you too.
It's sad, I know,
it's pathetic, I get it,
but I still love you.


Somewhere between howling a falsetto to that old eighties song
and smiling that silly, stupid grin like you do
and being a complete, absolute idiot,
you stole my heart.


Maybe because I was the one who couldn't stop laughing when you
missed the high note.
Maybe because I know that I have that same smile plastered on my
face whenever I'm with you.


Maybe because I have a weakness for adorable idiots.
Somehow, you took it when I was not looking.
Or maybe I gave you, too enthralled by your puppy dog face and
those big, beautiful eyes to care.


But you never gave it back.
I'd tell you to keep it,
all it would do is make me think of you
and I'm not sure I want that.


Yet it's my heart,
I need it back.
Without it, I can't move on.
And I NEED to move on.


So thank you for the heartbreak,
thank you for the heartache;
I wish you every happiness that I could never give you.


Tragically,
pathetically,
forever yours:
I will always love you.


mardi 12 juillet 2011

Chaque homme a dans le coeur un vide, une entaille, un sentiment d'abandon et de solitude...







S'ouvrir les veines et en voir s'écouler le sang
Le regarder teindre sa peau, s'imprimer sur sa rétine
L'image du rouge, liquide plus précieux que tous les rubis du monde
Il es nu, Amour, et plus rien ne le retient
Le néant glisse sur lui comme un linceul sur un cadavre.



Vaste et profond vide, il plonge
Ses yeux s'accrochent encore une dernière fois aux étoiles
Ses mains se tendent devant lui comme un ultime appel à l'aide
Mais aucune autre main ne lui répond
Les couleurs s'évanouissent, le toucher n'est plus et il ne sent plus rien
Ses pensées disparaissent et laissent la place à ce qui n'est pas



Mais le sang s'écoule toujours et semble flotter dans l'air
Des couleurs qui subsistent et lui, il a toujours mal
La fragrance suave et chargée de son hémoglobine monte à ses narines tel un doux parfum
Elle glisse et caresse sa peau, un délicat toucher mouillé et presque érotique
Il veut goûter et sentir sa saveur irradier son palais



Pourtant le rien l'envahit et sa vue se trouble
Tout n'est qu'illusion et bientôt sa seule réalité est ce sang
Sang qui se macule et qui est son ultime étincelle de conscience
Sang qui sonne l'heure de sa mort aussi inexorablement que la pluie tombe
Sang, signature en bonne et due forme en bas à droite de sa vie
Ces quelques mots d'adieux, son Ange…



Ces quelques mots qu'il veut goûter
Savourer, boire salement et s'en lécher les lèvres
Aspirer et imaginer sa bouche, déjà si pâle, illuminée par ce délicieux liquide
Les mots s'écoulent de lui comme l'eau verte d'une fontaine oubliée
Mousse, insectes et fissures sont ses seules parures
Seulement, saignante, lui il est sensuel
Il se verrait bien danser arrosé par les gouttes incarnates jaillissant de ses poignets
Les Africaines dansent bien sous la pluie, elles.



Seulement dans cette danse il perd pied, les mots s'envolent et les étoiles s'effacent
Ne restent plus que le sang et ce vide qui le glace
Caresses, gémissements, le véritable hémophile c'est lui
S'étant toujours interrogé à propos de ses préférences
Il n'y a plus à se perdre en étranges conjonctures
La sienne, c'est le sang.



Aimer exagérément le sang, c'est comme se pencher un peu trop au-dessus du vide
Il nous attire et nous perd
Il le lèche, qui ruisselle et parsème son corps de mille gouttes,
Il n'est plus que cet épiderme sur lequel il coule
A trop vouloir, il est tombé, et le précipice l'entraîne
Oh mon Dieu, c'est un abîme.



Ses propres hurlements résonnent à ses oreilles.
Elle arrivera bientôt et elle le trouvera, il sera morte
Blanc, et éclaboussée par la plus pure des drogues.
Mort qui le prend, même la saveur du sang disparaît de sa bouche et la sensation du liquide sur son corps
Il n'a plus de bouche, plus de corps
Juste un gigantesque vide qu'il perçois pour la dernière fois



« je t'aime »
soupir ultime.




Cœur ardent...




Les ardeurs de mon cœur se multiplient depuis
Je n'ai d'yeux que pour toi, tu es celle que je veux
La belle qui attise, en mon coeur ce doux feu
Celle à qui je rêve que je veux et dont j'ai envie

Tu trônes dans mes pensées m'empêchant de m'envoler
Je t'ai laissé savoir mes sentiments pour toi
L'amour comme une épave accrochée je m'y noies
Mon coeur remis à neuf uniquement pour t'aimer

Je reste incertain sans connaître mes chances
Tes histoires du passé pèsent lourds dans la balance
Je suis patient et en mes sentiments, j'ai foi

Ma passion pour toi semble être présente pour toujours
Je t'ai tout dévoiler et cela sans créer de froid
J'espère un jour pouvoir trouver ton amour...








Madame Lune...





Éclipser la Lune,
À en faire empourprer le ciel,
À mes tourments, t'es à ma tête
Vivre d'amertume, de désirs inassouvis,
Naufrager la tempête


Je
                 touche
                                  le
                                                   fond



Des arbres, ces explosions de feuilles dentées, pointées vers moi
Se réverbèrent sur le sol
J'écorche mes souvenirs sur leur peau


Cette futilité
C'est mon âme
Qui s'échine, qui s'accroche aux rameaux brisés


De l'arbre aux mille éclats
Sauras-tu me dépouiller?
Que meure le noroît
Que valsent les feuilles


Au temps d'une fin sans vie
Secoue-moi
Écho; j'écrie toujours


Les
                 Astres
                                  Sont
                                                   En

                                                                    Chute libre




Je débalance
Je disparais
À l'infini
À l'aide!


Madame Lune, où te caches-tu?
Madame Lune, sors de ta léthargie, viens, viens à moi, j'ai si besoin de toi
Ici, c'est noir sur glace, mon cœur se fracasse sur les rives de la souffrance


Ma chaîne se traîne,
Les feuilles s'en lassent
J'étire…
À l'aide!


Le Rouge, il empoisonne, il emprisonne
Mes doigts, ils s'ancrent dans ma peau, y creusent l'abyme
L'âme s'arrache, elle conspire à s'abandonner
Le Rouge, il fait couler le temps, il coule, le Rouge.
Je ronge ma conscience, je pèle mes souvenirs


Un à un
Retenir
Ne plus ressentir
Émotions sardines


Ravaler
Ces mots anorexiques de
Toi
Je m' é c l a t e


Tombant à s'endormir, je paragraphe l'oubli
J'apostrophe le ridicule, il me gagne, il me gagne, il me gagne
Allez, vas-y, contourne-moi, raye-moi, radie-moi


À l'aide!
Empreinte de
Ton regard
Tournesol


Cet instant monochrome est dépassé
Cet instant végétatif où
S'éclope l'amertume
Sans sève


De ta présence, je m'enlise
Ton silence porte la voix
De celui qui renonce
À moi…


Madame Lune, reviens veiller sur moi, il fait si noir, maintenant
Madame Lune, que suis-je sans ta réponse?

vendredi 8 juillet 2011

Caresse, Tristesse et Tendresse...





Ne le fait pas!
Ne passe pas à trépas.
La vie n’est pas bénigne,
Elle n’est qu’une drôle d’énigme.

Serre les dents,
Le problème n’est pas si grand.
Laisse-toi le temps,
Il y a plus important.

Elle reste indifférente.
Pourtant il n’y a d’empressement.
Ne t’en fais pas pour autant,
Elle n’a point brisé serment.

De l’attente d’une douce caresse
Découle de cette profonde tristesse.
Tu ne désires que tendresse.






lundi 27 juin 2011

Seven Deadly Sins...


 Pride/Vanité


You notice nothing, where only the best matters
Watch as your life swings past you, laugh as it scatters
Notice no beauty in anything, only your own greed
For you will slip into hell, where all of your kind will bleed


Avarice/Greed


You always want more, money is all you are
All the times you fight for fame, you're just adding another scar
Like humans are here, just to tend to your every need
For you will slip into hell, where all of your kind will bleed


Envy


Constantly see others better, no more then Perverted Love
Like you're waiting to die, like they will let you above
Like you're forever waiting, you'll never precede
For you will slip into hell, where all of your kind will bleed


Wrath/Anger


Living insane, unable to reason and smile
You think physical abuse is needed, you think it's worthwhile
You see humans as nothing, only to mislead
For you will slip into hell, where all of your kind will bleed


Lust


Females to you are nothing, just for Perverted Love
Like they're here for the taking, just here to shove
You think they're here for abuse, like to you're sick shit they have agreed
For you will slip into hell, where all of your kind will bleed


Gluttony


You always want more, you never appreciate anything
Like there's always better, you never see the pain it can bring
You want nothing but the best, you'd never dare to recede
For you will slip into hell, where all of your kind will bleed


Sloth


You always delay on life, just to get what you want
Pushing off all your duties, your life's just a meaningless flaunt
Just to trick and steal, off other lifes you feed
For you will slip into hell, where all of your kind will bleed






Take a look outside
Take a scent of the sweet calm air
Or open a window and forget your dispair
See life as a gift, instead of a curse
Feel the love that we have been given
Feel it everyday
Be the one to change someone's day
Push aside the pain, push aside the dismay
See this life as a blessing
Love for all it is, dont let it dwindle away...







Les Sept Péchés Capitaux




Fierté / Vanité 


Vous ne remarquez rien, seuls les meilleurs choses ont de la valeur à vos yeux 
Regardez votre vie filée devant vos yeux, elle rit de vous à mesure qu'elle s'évanouit 
Vous ne voyez la beauté en rien, seulement votre propre cupidité 
Et vous glisserez en l'enfer, là où tous ceux de votre espèce saigneront 


Avarice / Cupidité 


Vous voulez toujours plus, l'argent est tout ce que vous êtes et tout ce qui vous fait 
Toutes les fois où vous vous battez pour la gloire, vous n'ajoutez qu'une autre cicatrice 
Comme les êtres humains qui sont là, font vos quatre volontés
Et vous glisserez en l'enfer, là où tous ceux de votre espèce saigneront 



Envie 


Vous croyez constamment que les autres sont mieux, pas plus qu'un Amour Perverti 
Comme vous attendrez la mort, comme si eux en haut vous laisserez 
Comme une éternité d'attente, vous ne serez jamais le premier 
Et vous glisserez en l'enfer, là où tous ceux de votre espèce saigneront 



Colère 


Vie de folie, incapable de raisonner et de sourire 
Vous pensez que l'abus physique est nécessaire, vous pensez que ça vaut en la peine 
Vous voyez les autres comme quantité négligeable, seulement bon à manipuler 
Et vous glisserez en l'enfer, là où tous ceux de votre espèce saigneront 



Convoitise 


Les femmes pour vous ne sont rien, juste bonne pour l'Amour Perverti 
Comme si elles étaient là pour être pécher, juste ici pour être poussées et jetées 
Vous pensez qu'elles sont ici pour être abusées ou violentées, comme si elles donnaient 
Et vous glisserez en l'enfer, là où tous ceux de votre espèce saigneront 



Gourmandise 


Vous voulez toujours plus, vous n'avez jamais rien apprécié 
Comme s'il y avait toujours mieux ailleurs, vous ne voyez jamais la peine que vous occasionnez 
Vous voulez rien d'autre que le meilleur, vous n'avez jamais osé reculer 
Et vous glisserez en l'enfer, là où tous ceux de votre espèce saigneront 



Paresse 


Vous passez votre temps à remettre tout au lendemain, juste pour obtenir ce que vous désirez 
Repoussant toutes vos responsabilités, vos vies vides et sans sens 
Juste pour tromper et de voler, vous vivez des bonnes grâces des autres
Et vous glisserez en l'enfer, là où tous ceux de votre espèce saigneront 





Regardez autour de vous 
Respirez le parfum de l'air, doux et calme 
Ou ouvrez une fenêtre et oubliez votre désespoir 
Voyez la vie comme le don qu'il est, au lieu d'une malédiction 
Ressentez l'amour que nous avons reçu 
Ressentez le tous les jours 
Devenez celui qui changera positivement la journée d'autrui
Libérez-vous de la douleur, libérez-vous du désarroi
Voyez cette vie comme une bénédiction 
Aimer la pour ce qu'elle est, pour ne pas la laisser filer...