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jeudi 12 mai 2011

De Caunes & Garcia - Richar Jouir et Cindy Troforte






J'adore toujours...

mercredi 11 mai 2011

A Bag of Nails...







Once upon a time there was a little boy with a bad temper. His father gave him a bag of nails and told him that every time he lost his temper, he should hammer a nail in the fence. 


The first day the boy had driven 37 nails into the fence. But gradually, the number of daily nails dwindled down. He discovered it was easier to hold his temper than to drive those nails into the fence.


Finally the first day came when the boy didn't lose his temper at all. He proudly told his father about it and the father suggested that the boy now pull out one nail for each day that he was able to hold his temper.


The days passed and the young boy was finally able to tell his father that all the nails were gone. The father took his son by the hand and led him to the fence.


"You have done well, my son, but look at the holes in the fence. The fence will never be the same. When you say things in anger, they leave a scar just like this one. You can put a knife in a man and draw it out, it won't matter how many times you say 'I'm sorry', the wound is still there."




Un sac de clous...



Il était une fois il y avait un petit garçon avec un mauvais tempérament. Son père lui donna un sachet de clous et lui dit que chaque fois qu'il perdait son sang-froid, il devrait planter un clou dans la clôture.


Le premier jour, le garçon avait enfoncé 37 clous dans la clôture. Mais graduellement, le nombre de clous commença à diminuer jour après jour. Il découvrit qu'il était plus facile de garder son sang-froid, que d'enfoncer des clous dans la clôture.


Enfin, vint le premier jour où le garçon ne perdit pas son sang-froid du tout. Il informa alors fièrement son père de cela et le père lui suggéra que le garçon devait maintenant retirer un clou pour chaque jour où il a été en mesure de tenir son sang-froid.


Les jours passèrent et le jeune garçon a finalement été en mesure de dire à son père que tous les clous avaient disparu. Le père prit alors son fils par la main et l'amena à la clôture.


"Tu as bien fait, mon fils, mais regarde les trous dans la clôture. La clôture ne sera plus jamais la même. Quand tu es en cloère et tu dis des choses, elles laissent une cicatrice comme celles-ci. Tu peux enfoncer un couteau dans un homme et le retirer après, mais qu'importe le nombre de fois où tu diras «Je suis désolé", la plaie est toujours là."





vendredi 6 mai 2011

Sex Object...




Between her legs,
lies something that
every man seems to want.

A place where she should be able
to call her own,
between her legs.


She feels that men only want her,
a true want,
to have sex with her,
and walk away.


The breasts she has,
they gain stares from men passing by,
tripping over themselves to find a chance to touch.


When will she stop being looked at,
as an object of sex? 

When will a man
see her as someone he may spend his life with?

Her hips curve,
and she doesn't want your hands on them,
if your just going to touch her skin.


She wants a man to touch her soul,
not just touch her skin,
and run his fingers where they do not belong. 


What made these men think,
she is just a sex object,
a toy that could be put on display,
and taken whenever they like. 


Between her legs,
lies something that
every man seems to want.


Proud she is though,
that she hasn't given in,
hasn't let a man touch where he shouldn't be.


She feels men looking,
wanting her for an object just for sex,
an object that men can thrust in,
and walk away,
when all she wanted was to be held.



She is no object for sex,
so close your mind,
and forget what you want,
she is a woman,
she deserves more respect...



jeudi 5 mai 2011

Mes poèmes





Ça fait partie de ma vie...
et maintenant j'en ai toujours envie,
que je pleure ou que je souris,
jamais ça ne me nuit.


     C'est une façon de me libérer.
     Au lieu de parler ou de crier,
     j'écris pour tout fusionner.
     Et pour ensuite me raisonner.


          Je manque parfois de mots,
          je veux que ce soit plus gros...
          Sans savoir que c'est déjà très beau,
          car ce que j'écris n'est jamais faux...


               J'essaie de m'améliorer,
               d'utiliser des mots plus sophistiqués,
               de repenser aux moments qui m'ont marqués,
               et de chercher la vérité...


                    Pour finir, mon poème touche à sa fin,
                    l'instant ou je le montrerai enfin...
                    Ce qui me fait avancer sur le chemin,
                    même s'il n'y a personne pour me prendre la main...

                         Enfin un jour, peut-être...



Les Fleurs...



Depuis bien longtemps tourne une planète,
Toujours et encore éternellement.
Sur cette planète dansent des fleurs légères,
Bercées par le vent, tout doucement.

Les unes fraîches et jolies, les autres violentes et belles,
On les contemple, on s'émerveille,
On les voit s'offrir au soleil,
Et danser le soir, sous la lune d'or.

Simples et charmantes,
Piquantes ou pétillantes,
Douces ou cruelles,
On s'éblouit de leur présence.

Puis un beau matin de printemps
Ou une triste soirée d'automne,
Imprudemment, on cueille une fleur,
Qui n'est pas comme les autres.

Aux yeux du monde, elle est semblable.
Une jolie fleur agréable
Mais pour vous il n'y a qu'elle,
Et rien n'est plus magnifique
Que cette fleur là.

Cette fleur qui chante et qui danse,
Cette fleur qui embaume l’air que vous respirez,
Cette fleur qui joue, cette fleur qui rit.

Cette fleur que vous buvez des yeux et qui vous enivre
Sans jamais vous désalterer,
Dont la vue est une caresse
Sur votre âme gorgée de tendresse,
Cette fleur que déjà vous aimez,
Un sourire aux lèvres.

Mais c’est une fleur, et vous le savez
Vous n’avez d’autre choix
Que de la déposer très délicatement
Pour la laisser aller,
Qu’elle continue à vivre
Comme si rien dans sa vie
N’avais jamais vraiment changé.

Alors, le cœur noyé,
Vous étouffez vos larmes.
Mais maintenant vous savez,
La douce violence que c’est D’aimer.



mardi 3 mai 2011

I love it...




I feel your hands in my hair.

I feel your breath on my neck.
I feel your body pressed so close to mine.
I feel your lips on my throat.
I feel your hands move to my back and your lips work their way up to mine.
I feel you and I love it.

I hear you say you love me.
I hear you whisper my name.
I hear you tell me I'm the only one for you.
I hear your breath in my ear.
I hear your soft breaths as I fall asleep.
I hear you and I love it.

I see you as I run into your arms.
I see your face break through my world of darkness.
I see you fight away my fears.
I see you wipe away my tears.
I see you're in love with me.
I see you and I love it.

I taste your lips.
I taste your tongue.
I taste your throat as I kiss it.
I taste your love.
I taste your passion.
I taste you and I love it.

I smell your perfume as I hold you.
I smell your shampoo as I hug you.
I smell your toothpaste as I kiss you.
I smell your excitement as you cuddle me.
I smell the smell I've been waiting so long to smell.
I smell you and I love it.

I feel you.
I hear you.
I see you.
I taste you.
I smell you.
I do all these things and I love it.

I'm finally with you.
You're finally here.
I love it.
I love you.